PRÉSENTATION

La Fabrique des Impossibles, association culturelle créée en 2010 constituée d’un collectif de professionnels de divers horizons, œuvre sur la métropole parisienne. Elle coordonne la conception de projets culturels collectifs et participatifs qui interrogent les notions de territoire de vie et d’espace public. Dans ces projets, la culture est à entendre dans son acception large et sur sa capacité à faire société, à créer des liens. Il s’agit de s’emparer d’enjeux propres au territoire et de les interroger via la construction de projets artistiques collectifs. Un fil rouge relie ces projets : tous sont situés hors les murs, ils sont en relation avec leur environnement, humain ou urbain, qu’ils viennent révéler, décaler, transformer discrètement ou de manière spectaculaire, fugitivement ou durablement. L’association veille à travailler avec une diversité d’individus, d’artistes et d’associations franciliennes et européennes pour construire un projet qui soit le plus juste, le plus ouvert et le plus accessible possible. 

Trois axes définissent le travail qu’elle mène aux côtés de ses partenaires :

               

  • Coopération / Avec un fonctionnement basé sur la co-construction et le travail partenarial, la Fabrique des Impossibles place au cœur de sa méthodologie l’horizontalité comme fondement du projet collectif. En unissant les forces et les dynamiques, elle s’attache à faire travailler ensemble des professionnels issus de champs de compétences variés (social, artistique, culturel, éducatif, etc).

 

  • Culture / Dans les projets menés par l’association, la culture est à entendre dans son acception large et sur sa capacité à faire société, à créer des liens. Il s’agit de s’emparer d’enjeux propres au territoire et de les interroger via la construction de projets artistiques collectifs dont l’objectif de permettre l’émancipation sociale et citoyenne de tou·te·s.

 

  • Territoire / Implantée en Seine Saint-Denis et dans le nord de Paris, la Fabrique des Impossibles accorde une réelle importance à l’ancrage local de ces projets. Organisés la plupart du temps dans les quartiers populaires et hors les murs (en extérieur, dans la rue, sur une place ou en pied d’immeuble), les projets permettent de valoriser l’espace public comme vecteur d’échanges, de ressources et de débats collectifs.